Nampilly


Le blog Nampilly 2011 est l’héritier d’une (assez) longue lignée de forum, site et blog qui ont évolué au fil du temps, des modes, des avancées d’Internet, de l’inspiration des webmasters.
Tout a commencé en 2002, sur le forum de discussion Birkenwald, alors très actif. Un site a suivi, pour développer en articles les thèmes abordés sur le forum. Toujours accessible, vous pouvez le découvrir ici : masterkouki.free.fr.
Puis les blogs sont apparus, avec leur souplesse d’utilisation, leur réactivité, leur adaptabilité. nampilly.canalblog.com nous a fidèlement servi durant presque 6 ans avec un message tous les deux jours ! Mais le modèle, peu flexible, ne nous permettait pas de bénéficier de tous les outils dont nous avions besoin, comme cette page spéciale, par exemple. Alors hop, on déménage, on refait les peintures et la déco et, surtout, on ralentit le rythme de parution, devenu incompatible avec nos vies personnelles et professionnelles.
Réunissant d’abord les fans de la Collection Signe de Piste, l’équipe de Nampilly s’est ensuite rapprochée de l’Association des Amis du Signe de Piste, avant de diversifier ses sujets. Aujourd’hui consacré au roman scout dans son ensemble – passé, présent et à venir, tous éditeurs confondus – le blog Nampilly a pour vocation (ambitieuse ?) de suivre l’actualité brûlante de ce genre de littérature à part, assez méconnu du grand public, qui accueille pourtant de forts beaux textes et des plumes remarquables.

Mais pourquoi « Nampilly » ? Pour tous les (anciens) adolescents ayant dévoré les romans de la Collection Signe de Piste, cela n’est pas un mystère. Pour les autres, sachez simplement que la trilogie Nampilly est l’un des fleurons parmi ces romans qui ont fait le succès de la fameuse collection, en marge du Prince Eric, des Voleurs (Serge Dalens) ou des chroniques du Pays Perdu (Jean-Louis Foncine).
Nampilly, c’est un domaine de Sologne, fait de châteaux qui menacent de s’effondrer, de forêts chaudes en été qui s’enflamment à l’automne, d’étangs plein de canards, de fermiers qui ont juré loyauté à d’anciens seigneurs, souvent très pauvres mais toujours très nobles.
Tout cet univers est propice au rêve et aux histoires, surtout aux romans. Alors quel cadre plus enchanteur pour nous accueillir ? Car on doit Nampilly à un auteur qui nous a toujours apporté son soutien et son affection. Merci, cher Monsieur Saint-Hill.